Près de la moitié des 25 rouges à lèvres analysés par Öko-Test ont été jugés mauvais ou juste suffisants. Le magazine allemand a cherché des composantes nocives dans les bâtons de couleurs, notamment:

> les parfums allergènes;

> les filtres UV peu sûrs;

> la quantité de paraffine, de dérivés du pétrole et de silicone;

> les halogènes organiques;

> les composés de musc polycycliques.

Comme bien souvent, le prix n’est pas un critère de qualit...