En été, on n’a que l’embarras du choix pour mettre dans son assiette cinq portions de fruits et de légumes chaque jour. Mais l’hiver venu, l’offre est loin d’être aussi abondante. Cela surtout si l’on tient compte du coût d’un aliment pour l’environnement: en février, une botte d’asperges du Pérou nécessite ainsi 5 l de pétrole pour son transport, contre 3 dl seulement pour des asperges suisses achetées en mai.

Or, d’autres choix s’offrent aux consommateu...