La nouvelle méthode consisterait en cinq injections sur huit semaines contre près de 40 piqûres sur trois ans aujourd'hui. Elle est prometteuse selon François Spertini, médecin chef du Service d'immunologie et allergie au CHUV: «C'est vraiment ça l'avenir. On peut même imaginer un traitement par voie orale plutôt que par injection». Le spécialiste indique qu'aujourd'hui, les allergiques aux pollens ont le choix entre deux méthodes: les antihistaminiques et la désensibilisation. L...