Nombreuses sont les personnes à redouter que la maladie ou un accident ne les empêchent, un jour, d’exprimer valablement leur volonté sur les suites de leur traitement médical. Pour certaines, c’est la crainte de ce qu’on appelle communément «l’acharnement thérapeutique» qui les ronge. A l’opposé, d’autres veulent être sûres que tous les moyens médicaux seront déployés pour les maintenir en vie en dépit d’un pronostic défavorable. D’autres encore voudront s’a...