«Le facteur sonne toujours deux fois» titrait le roman de James M. Cain, connu pour ses adaptations au cinéma. Henri-Daniel Honegger n’arrive, lui, pas au même constat. Domicilié à La Tour-de-Peilz (VD), notre lecteur se plaint de la négligence du facteur distribuant les colis. A deux reprises, il raconte que l’employé postal a glissé un avis de retrait dans sa boîte aux lettres sans prendre la peine de sonner préalablement à sa porte.

En réponse à la première récla...