La prévoyance professionnelle et l’assurance chômage ont, chacune, leurs règles du jeu qui, quand on les cumule, se transforment en labyrinthe kafkaïen. Bernard*, un lecteur fribourgeois licencié à 63 ans et demi, en fait l’amère expérience.

«La petite entreprise où j’ai travaillé plus de vingt ans m’a donné mon congé le 31 octobre 2010, à seize mois de la retraite. Comme je dispose d’un capital de prévoyance de quelque 290 000 fr., j’ai demandé à ma caisse ...