Mes obsèques, c’est mon affaire – ce texte publicitaire a dû frapper plus d’une âme. Car qui a envie de préparer et payer son enterrement lorsqu’il est encore bien vivant?

«La prévoyance funéraire existe depuis une vingtaine d’années. Mais cela reste souvent un tabou, même si aujourd’hui on cache moins la mort qu’avant, note Edmond Pittet, directeur des Pompes funèbre générales de Lausanne. Il se trouve cependant de plus en plus de gens pour y souscrire. Et cel...