La montagne n’a pas son pareil pour souffler le chaud et le froid. Le randonneur transpire à la montée et gèle au sommet. Pour le skieur, c’est l’inverse: il livre un effort intense pendant la descente, mais n’échappe pas au coup de froid sur le téléski ou à l’heure de l’apéro!

Les sportifs des cimes ont donc, instinctivement, toujours porté plusieurs couches: la première, fine, absorbe la transpiration et sèche rapidement. La deuxième, plus épaisse, garde une t...