Un ressortissant espagnol, alors domicilié dans son pays, y a passé le permis théorique et effectué une vingtaine d’heures d’auto-école. Il a ensuite trouvé du travail en Suisse, où il s’est installé. Plusieurs mois après, il est retourné en Espagne quel­ques jours pour passer l’examen pratique.

L’autorité cantonale a refusé l’octroi du précieux sésame helvétique sur la base du permis ibérique. Selon elle, le candidat a tenté de se soustraire aux règles s...