Des bouchers malhonnêtes ont-ils voulu tromper le consommateur? De là à parler de tromperie, il n'y a qu'un pas, a expliqué Rolf Etter, chimiste cantonal zurichois. Dans certains cas, je pense qu'il y a eu des erreurs de calcul dans le mélange des viandes. Plusieurs échantillons recalés présentaient tout de même une part de veau oscillant entre 11% et 28%, alors qu'ils auraient du en compter au moins 51%. Dans la majeure partie des cas, c'est de la viande de porc, bon marché, qui a pri...