La maladie, la mort, la douleur d’une mère, mais aussi la publicité ambiguë, la justice n’en a cure. Le règlement, les délais et les méandres d’arrêts poussiéreux semblent visiblement plus importants. Le combat de Marylène Tintori n’a donc servi à rien. Non seulement elle a payé à tort des traites pour le petit crédit contracté par son fils décédé, mais en plus elle se retrouve avec quelques milliers de francs supplémentaires à régler pour les frais de justice. Pou...