C’était trop beau. Avec le cours de l’euro au ras des plages de la Méditerranée, on se battait pour payer l’apéro sous les oliviers. Sans parler du déo dont le prix, enfin, baissait au supermarché du coin!

Mais le monde ne tourne pas autour d’un verre de prosecco. Si on veut consommer, il faut travailler. La Banque nationale suisse (BNS) a donc frappé un grand coup en arrimant notre monnaie à l’euro, pour que nous puissions écouler nos montres et notre chocolat. Car, ...