Le seuil de tolérance à la saleté d’un véhicule dépend de l’usage, mais aussi de l’image qu’on lui prête. Les plus maniaques n’hésitent pas à retrousser les manches chaque week-end pour que l’éclat de leur carrosserie aveugle tous les passants. Les moins pointilleux ont une approche plus fonctionnelle: ils se résignent à passer à l’action lorsque leur voiture ressemble à une fresque en terre cuite ou à un cinéma dévasté par un cataclysme de pop-corn.