Swiss vient d’annoncer la suppression de 3000 emplois et le redimensionnement de sa flotte. L’ancien fleuron de l’économie suisse ne cesse de prendre du plomb dans les ailes. Et il ne s’agit pas que d’argent: son service, autrefois si réputé, fait lui aussi du rase-mottes.

En sera-t-il de même un jour avec les CFF, autre institution destinée à être privatisée? On peut en tout cas se demander si elle n’est pas déjà engagée sur cette voie en découvrant les résulta...