Une employée d’un groupe horloger de luxe, durement invectivée par son supérieur, s’est ensuite vu confier des tâches nettement moins intéressantes. Le Tribunal fédéral (TF) a considéré que la travailleuse pouvait prétendre à une indemnisation à titre de réparation morale pour ces actes de mobbing.

Généralement, n’importe quelle atteinte légère à la réputation professionnelle, économique ou sociale d’une personne ne justifie pas une réparation. Il faut, en e...