Quand on se tourne vers de l’ameublement bon marché, on ose s’attendre à de menus défauts ou à des difficultés de montage. Mais, en optant pour une entreprise qui prétend ne pas «faire partie du secteur des produits bas de gamme», on est en droit d’exiger des articles irréprochables et un service après-vente soigné.

C’est du moins ce qu’espéraient Anita et Michel Devaud en commandant une table, huit chaises et un vaisselier pour plus de 7800 fr. chez Diga. A la li...