Avec la généralisation des étiquettes-énergie, l’écoconsommateur pensait pouvoir bénéficier d’un système clair. Au départ, chaque appareil était classé de A à G en fonction de sa consommation électrique. Ainsi, un produit estampillé B était considéré économe, malgré l’existence de modèles moins gourmands (ceux de la classe A).

Mais, à la longue, de nombreuses exceptions ont été introduites, remettant en cause la signification de ces labels. Au final, au lie...