C’est une pièce mille fois jouée sur le théâtre routier, mais son dénouement n’en finit pas de surprendre. Acte I: en reculant pour sortir du parking, un automobiliste heurte le pare-chocs d’une autre voiture stationnée là. A l’œil, les dégâts semblent minimes, voire inexistants – à peine une griffure sur le pare-chocs… Etablir un constat dans ces circonstances semble superflu, et c’est sans réticence que le responsable de la «touchette» accepte de prendre en charg...