Ainsi donc, nous aurions sombré dans le ridicule en relatant le combat mené par une lectrice contre un opérateur téléphonique (Bon à Savoir 1/2008, p. 3). C’est du moins l’avis d’un abonné, vertement transmis à notre rédaction. Raison de son courroux: la somme en jeu était inférieure à 20 fr. Qu’il nous permette, à notre tour, de trouver l’argument un peu court: c’est justement parce qu’elle savait d’entrée de jeu que ses démarches lui coûteraient plus de 20 fr...