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La dépression hivernale, due au manque de lumière et au froid, est très connue. C’est moins le cas de la dépression estivale. Pourtant, une personne sur vingt déprime à l’arrivée de l’été et jusqu’à l’automne, surtout dans des zones très ensoleillées, aux températures torrides. Les troubles estivaux diffèrent de ceux de l’hiver: les patients ont tendance à moins manger et à maigrir, alors que c’est tout le contraire pour la dépression hivernale. Et les déprimé...
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