Si, malgré l’aide apportée à la Grèce, le pays devait faire faillite sans pouvoir rembourser ses créanciers, les banques et les investisseurs suisses seraient peu touchés, selon le Tages-Anzeiger. Pour UBS et Credit Suisse, les montants dus sont inférieurs à 2 milliards de francs. Quant aux caisses de pension, qui gèrent actuellement 600 milliards de francs, dont le dixième à l’étranger, elles ne perdraient «que» 1,2 milliard de francs dans une éventuelle débâcle.