La crise financière prend une telle ampleur qu’elle affecte désormais Monsieur et Madame Tout-le-monde, qu’il (elle) ait ou non investi en Bourse. Chacun est sur le qui-vive: la crainte de la récession annoncée stimule l’attentisme et risque de freiner les envies de consommer. Si des projets de grande envergure peuvent attendre des temps meilleurs, certaines dépenses ne peuvent être reportées. Notamment, et avant tout, se nourrir et nourrir sa famille.

Face à ce besoin pri...