«J’en ai ras-le-bol, j’ai besoin de faire le point.» En pleine crise de la quarantaine, Mario* a décidé de prendre un congé non payé entre juillet et décembre. Le Neuchâtelois envisage de parcourir l’Asie, un continent propice à la méditation. Son employeur ne lui versera pas de salaire pendant son absence; il suspendra simplement son contrat de travail.

Les 15 000 fr. qu’il a mis de côté doivent suffire pour acheter le billet d’avion et vivre à son aise sous d...