Souffrant de troubles psychiatriques sévères et déclarée incapable de discernement en 2011, X était jusqu’alors sous la tutelle d’un avocat. Ce dernier ayant toutefois pris sa retraite en 2014, il a désigné une consœur pour lui succéder dans sa fonction. X s’est opposée à cette remplaçante, invoquant notamment le fait qu’elle n’avait «aucun feeling» avec la nouvelle curatrice. La Cour cantonale, approuvée par le TF, a jugé que, même si les souhaits de la personne pl...