Par téléphone, par courriers postaux ou électroniques, la société Friedrich Mueller fait miroiter de probables gains à certains ménages et d’alléchantes possibilités de recouvrement de dettes à d’autres. Si l’argumentation varie de cas en cas, la stratégie demeure aussi perfide que ruineuse.

Preuve en est le récit de Rosa Meyer, de Perrefitte (BE). Le 12 octobre dernier, notre lectrice de 81 ans reçoit un courrier postal, émanant de la responsable du service juridique...