«Vivre dans un appartement de 120 m2, si près de Genève, c’est un privilège.» Depuis la terrasse, le lac Léman se reflète dans les yeux d’Annabelle Blaser*. Elle et Claude-Alain, son mari, ont accédé à la propriété il y a un peu moins de vingt ans, au moment où le marché immobilier se cassait la figure à Nyon. «Nous avons sauté sur l’occasion, ajoute Claude-Alain, car nous savions qu’une telle opportunité ne se représenterait plus.» A l’époque, l’investissem...