C’est Keynes, le célèbre économiste anglais, qui, à l’époque déjà (il est mort en 1946…), avait souligné que, à mesure que la taille des marchés progresse, l’activité de spéculer l’emporte sur celle d’entreprendre, c’est-à-dire de produire des richesses réelles.

Faut-il qu’ils soient devenus disproportionnés pour en arriver à une pareille pagaille! Disons-le sans ambages: les marchés ne voient que leurs intérêts à court terme et se fichent des ravages...