A l’automne dernier, la «taxe rose» faisait grand bruit en France voisine. Chiffres à l’appui, le collectif Georgette Sand y dénonçait de grosses différences de prix en défaveur des femmes. En Suisse aussi, nous avons relevé des exemples de discrimination tarifaire.

Comparaison n’est pas raison, arguent vendeurs et fabricants. C’est possible. Toujours est-il que les dames n’ont souvent pas d’autre choix que d’opter pour le modèle le plus cher. Il vaut donc la pei...