Il arrive couramment que des parents donnent un coup de pouce lors de leur vivant à un de leurs enfants, soit en lui octroyant une certaine somme d’argent, soit en lui cédant la maison familiale. S’il a des frères et des sœurs, on appelle cela, dans le langage juridique, une «avance d’hoirie», à compenser au moment de la succession. Mais attention, s’il s’agit d’un bien immobilier, la somme qui sera retenue dans le cadre de la répartition ne sera pas la valeur à l’époq...