Le manque de donneurs d’organes va croissant. Mais la nouvelle loi fédérale en la matière, applicable dès le 1er juillet prochain, ne prévoit (toujours!) pas qu’on puisse prélever sans autres des greffons à une personne décédée, à moins qu’elle ne s’y soit opposée clairement, par exemple sur un registre national. Ce système est pourtant éprouvé dans d’autres pays.

La nouvelle loi dit au contraire qu’un prélèvement n’est possible que si la personne décédé...