En cas de pépin à bord d’un avion, les anglophones auraient-ils plus de chances de s’en sortir que ceux qui ne maîtrisent pas la langue de Shakespeare? Les hôtesses et les stewards ont en effet beau répéter qu’il est important de suivre attentivement les consignes de sécurité exposées avant le décollage, ils s’obstinent pourtant à ne les présenter qu’en anglais: une de nos lectrices l’a constaté récemment lors d’un vol Genève-Madrid opéré par Swiss.

La rai...