Parfois, il n’y a pas qu’une seule vérité, et personne ne saurait dire qu’il détient «la» réponse. C’est le cas avec le don d’organes.

Pour exemple, quelques remarques entendues lors de notre enquête (lire en p. 3):

– «Vu le manque d’organes, il faut devenir donneur.»

– «Il faut accepter le prélèvement des organes d’un proche décédé puisqu’on peut sauver d’autres vies.»

– «Chacun doit penser que lui-même, ou l’un de ses parents,...