On les trouve au rayon cosmétique. Les baumes à lèvres devraient pourtant se mêler aux denrées alimentaires. Car, à chaque utilisation, on en absorbe une partie. «On en mange, carrément!» lâche Christian Surber qui connaît bien le sujet. Professeur à la Clinique de dermatologie de l’Hôpital universitaire de Bâle, il estime que celles et ceux qui en utilisent quotidiennement en avalent l’équivalent de quatre sticks chaque année! Aussi, nous avons mandaté un laboratoire pou...