C’est vrai et il faut s’en réjouir: l’espérance de vie ne cesse d’augmenter, particulièrement en Suisse où elle est l’une des plus élevées du monde. Revers de la médaille: une retraite prolongée nécessite une épargne renforcée. D’où, en 2003, la décision de baisser le taux de conversion (lire p. 18) de 7,2% à 6,8% entre 2005 et 2014. Cinq ans plus tard, le Parlement a toutefois décidé de revenir sur ses positions et de passer à 6,4%, d’ici à 2016 vraisemblable...