Pour les Anglais, ce sont les e-books, ou electronic books. Au Québec, on les appelle les livrels, contraction de «livre» et «électronique». Quel que soit leur nom, ces ouvrages – dont les informations ont été numérisées – sont tombés dans le domaine public et sont désormais disponibles par milliers sur la toile. Ils contribuent à glorifier la culture écrite, que d’aucuns pensaient moribonde depuis l’avènement du web.

A contrario, on constate que l’accès à la...