Le 4 janvier 2006, au centre commercial Marin-Centre (NE), Florence Gilliard craque pour une jupe soldée. Mais en l’essayant, elle remarque que la fermeture-éclair est cassée et déchirée. «Normal, répond la vendeuse, tous les habits de cet étalage sont soldés parce qu’ils ont des défauts.»

Aucune mise en garde n’est pourtant visible sur l’étiquette du vêtement ni aux alentours du stand. Notre lectrice achète tout de même le vêtement, mais nous écrit pour dénonc...