Impacts
environnementaux
A propos du test «Mouchoirs en papier» (1/08).
A la lecture de cet article, je
suis révolté de constater qu’il n’est fait aucune mention des impacts environnementaux des différentes marques de mouchoirs en papier. En conséquence, je boycotte totalement les marques qui n’assurent pas du «100% recyclé», comme Coop Oecoplan, moins bien classé dans votre test mais autrement meilleur pour l’avenir de la planète.
Olivier Bodenmann
Je pense qu’il serait intéressant d’approfondir la provenance du papier et, qui sait, peut-être retourner aux anciens mouchoirs en tissu, si ce dernier est assez épais, ce qui n’est plus le cas depuis plusieurs années.
Gertrude Berger
Conseil pratique
A propos du test
«Pelles à neige» (1/08).
Pour éviter que la neige ne colle sur la pelle, il suffit de frotter le recto et le verso avec du fart à ski. Une astuce aussi simple que pratique, et qui facilite bien la tâche!
Roger Hiroz
Résultats
de laboratoire
A propos de l’article «Analyses médicales entre médecin et patient» (1/08).
Le fait que le patient puisse clairement transmettre ses résultats de laboratoire au médecin de son choix peut être source d’économie; mais aussi d’une meilleure communication, laquelle à son tour peut être source d’efficacité, de confort et... d’économie!
En tant que directeur d’un laboratoire d’analyses médicales, je préfère néanmoins que la demande provienne directement du médecin, ou que le patient nous demande d’adresser cette copie à un autre médecin plutôt qu’à lui-même. Pourquoi? Le principe de prudence et de précaution – que vous signalez avec raison dans votre article – me paraît alors mieux sécurisé. Pourquoi? Parce que si les résultats du laboratoire sont accompagnés de valeurs de référence, ces repères sont en principe estimés pour une population de personnes jeunes et/ou en bonne santé. Et, d’autre part, elles ne représentent que 95% de cette population dite «normale». Autrement dit, en se basant sur ces valeurs repères, le patient a déjà 5% de risque d’une mauvaise interprétation du résultat, dans un sens comme dans l’autre. Et comme le patient n’est pas un objet statistique mais un individu, avec un contexte personnel qu’il faut pouvoir pondérer, le risque est encore plus grand.
Evaluer cet état de santé, décider des analyses et ensuite interpréter les résultats en fonction de ce qui a déjà pu être observé, tel est justement l’un des grands axes de la profession de médecin.
Mais il est vrai que les demandes de copie pour le patient ne sont pas très fréquentes et lorsque c’est le cas, celui-ci est au clair sur l’attitude à adopter en cas de doute.
Jean-Luc Salamin
Vider
les tubes
A propos de l’article «La coupe est pleine» (1/08).
Les tubes en plastique nécessitent une manipulation différente des tubes métalliques traditionnels: ils doivent être placés verticalement sur leur bouchon (les fabricants commencent à y penser). Et après utilisation, il faut exercer une légère pression sur l’arrière du tube pour permettre à l’air de remplacer le volume de produit enlevé avant de revisser le bouchon. C’est ainsi que, grâce à la gravitation, le produit descend vers l’orifice.
En revanche, il ne faut pas compresser le tube en plastique, il n’est pas fait pour ça. Seul petit inconvénient: une légère oxydation du produit par l’air enfermé.
Sans crainte néanmoins puisque les produits à risque, par exemple la purée de tomate, sont généralement vendus dans des tubes métalliques.
Daniel Raemy
Absence
de guichets
A propos de l’article «La guerre des paquets a commencé» (12/07).
Je me permets de mettre un bémol à votre enquête sur la livraison des paquets à domicile, car vous ne parlez pas du destinataire.
Contrairement aux services de La Poste, ceux des autres prestataires impliquent une présence à domicile puisqu’ils ne disposent pas d’un réseau de guichets où aller récupérer l’envoi.
Expérience faite, c’est un manque dont il faut absolument tenir compte!
Magali Masson