Sommaire
Bon à Savoir 02-2007
07.02.2007
Christian Chevrolet
Et les abricots
du Valais?
A propos de l’article «Nos fruits et légumes font le tour du monde» (01/07).
Comment se fait-il qu’à la saison des abricots du Valais, nous n’en trouvions pratiquement pas dans les magasins, ou alors à un prix totalement prohibitif. De même pour le raisin suisse, j’en ai cherché désespérément à la Coop et à la Migros l’automne dernier: peine perdue, impossible d’en trouver! Karine Köhli
J’ai été élevé en Val...
Et les abricots
du Valais?
A propos de l’article «Nos fruits et légumes font le tour du monde» (01/07).
Comment se fait-il qu’à la saison des abricots du Valais, nous n’en trouvions pratiquement pas dans les magasins, ou alors à un prix totalement prohibitif. De même pour le raisin suisse, j’en ai cherché désespérément à la Coop et à la Migros l’automne dernier: peine perdue, impossible d’en trouver! Karine Köhli
J’ai été élevé en Valais, où j’ai fait mon apprentissage, avant de devenir cuisinier (aujourd’hui retraité) aux USA. Je connais donc nos produits de saison. Cependant, si j’ai envie de mettre dans mon menu des fraises, des haricots ou d’autres fruits et légumes hors saison, je n’ai aucune hésitation à le faire. Pour autant que la qualité soit bonne. En plus, n’avons-nous pas un devoir d’aider un peu les pays sous-développés qui essaient de nous vendre leurs produits au milieu de l’hiver? Si l’on pouvait cultiver ces produits en Valais toute l’année, soyez certains que je n’achèterais nulle part ailleurs! Je crois en effet à l’écologie et à l’économie de carburant: j’ai été intéressé par les chiffres que vous nous avez donnés.
Jean-Jacques Métrailler
Le côté yin et yan
des CFF
A propos de l’article «Restez debout… ou prenez le train suivant!» (01/07).
J’ai vécu une expérience similaire à celle de votre lecteur, mais sans en être conscient: je me suis en effet assis dans un train à deux étages, sans réaliser que j’étais en première classe. Le contrôleur m’a alors poliment proposé de payer un supplément ou de me déplacer en deuxième classe. Je tiens donc à préciser que la courtoisie et le bon sens ont aussi leur place chez les CFF.
Jean-Pierre Steudler
ll y a quelques semaines, j’ai dû me rendre à Genève pour un rendez-vous d’affaires et j’ai demandé à notre secrétaire de réserver un billet sur le site internet des CFF, ce qu’elle a fait à son nom. Or, j’ai appris dans le train par le contrôleur que, à la différence des billets achetés au guichet et qui sont «au porteur», les billets électroniques sont «nominatifs». Pensant que la «bonne foi» l’emporterait sur la stricte application du règlement, j’ai tenté d’expliquer au contrôleur que, comme il pouvait le constater, je voyageais seul et que mon billet avait
bel et bien été payé. Rien à faire: j’ai dû acheter un deuxième billet, avec 5 fr. de supplément puisqu’il était réglé dans le train! La notion de service public aurait-elle disparu? Ce dont je suis certain, c’est qu’une entreprise du secteur privé qui agirait de la sorte envers ses clients aurait vite fait de fermer boutique…
Gianfranco Albertella
Précisions
A propos de l’article «Les nouveautés de 2007» (01/07).
Parmi les innovations pour 2007, nous avons rappelé que les rentes de la prévoyance professionnelle (2e pilier) avaient été adaptées et augmentaient de 3,1%. Nous aurions dû préciser que seules les rentes de survivant et d’invalidité étaient concernées, et non les rentes de vieillesse. Et encore, elle le sont seulement pour les assurés n’ayant pas atteint l’âge de la retraite.
LA RÉDACTION