Il y a des points finaux qui n’ont aucun sens
Depuis dix ans qu’elle traquait les erreurs dans nos textes, il n’y en a qu’une qu’elle n’aura finalement pas pu maîtriser: sa maladie. Anne Salem Marin, correctrice de Bon à Savoir dès la première heure, est partie de l’autre côté du miroir, peut-être pour tenter de résoudre l’ultime énigme des poètes*. Elle nous laisse seuls à jurer contre l’incompétence et l’inhumanité des systèmes de correction informatique, elle qui nous avait appris à marier la musique des mots avec la rigueur de l’information.
Dire que Anne nous manque est un euphémisme: il y a des points finaux qui n’ont tout simplement aucun sens...
Christian Chevrolet
Directeur des rédactions
* Anne Salem Marin:
«Enigme dans un miroir» (1991), Editions Empreintes.
Appel à la grève
A propos de l’article «Des légumes sans croquer la terre» (1/07).
Je voudrais dire ma colère envers tous ces aliments remplis de pesticides. Quand arrêtera-t-on de nous empoisonner? Si toutes les ménagères se tenaient par la main et décidaient de faire une grève, de ne plus acheter ces denrées empoisonnées, je suis persuadée que bien des choses changeraient. Se révolter, ne plus accepter, pour nous, nos enfants et nos petits-enfants!
France Baudet
Une hausse malvenue
A propos de l’article «L’assurance ménage grimpe» (1/07).
Ainsi, non seulement les franchises passent de 200 à 500 fr., ce qui permet aux assureurs de réduire leur devoir de remboursement de manière grotesque, mais en plus, ces derniers se permettent d’augmenter les primes de 5%. Mais qui aura une augmentation de salaire de 5% en 2007? Les caisses maladies, elles, réduisent les primes des membres en fonction des franchises, mais le secteur privé a le privilège d’augmenter parallèlement primes et franchises! Le Conseil fédéral doit arrêter de nous imposer la volonté de l’industrie privée, y compris celle des assureurs!
Jürg Haisch
Protéger nos enfants
Au sujet de notre article sur Jamba (2/07).
Je vois que le problème de ces sites où l’on peut charger des logos et des sonneries persiste! Mon fils avait, il y a deux ans, chargé un logo à partir d’un journal TV. Malheureusement, il n’avait pas regardé ce qui était écrit en petits caractères et il s’est trouvé sanctionné d’un malus de 17 fr. Je pensais également, en prenant une carte easy, que l’on ne pouvait descendre en dessous de 0 fr.
B. Muller
Un compliment
J’étais déjà ravie de lire votre magazine, mais je viens de m’inscrire à votre newsletter et je ne le regrette pas: elle est tout aussi utile, bien structurée, pleine de bons conseils et même de jeux ludiques, comme cette semaine, pour attirer l’attention des enfants concernant les dangers du feu. Un grand merci et un tout grand bravo pour tout votre travail!
R. Moynier
Adaptation du prix de notre abonnement
Chaque mois, Bon à Savoir vous tient au courant des nouveau-tés et des pièges du monde de la consommation. Aujourd’hui, nous renforçons notre présence dans le domaine de la santé (lire notre premier supplément trimestriel en pages I à VIII) et multiplions la production de tests pour être au plus près de vos préoccupations. Pour cela, nous devons adapter le prix de notre abonnement annuel. Dès le mois de juin, il reviendra donc à 32 fr. pour 11 éditions de Bon à Savoir, quatre suppléments MA SANTÉ, un service de premier conseil juridique gratuit et un rabais de 5 fr. sur chacun de nos dossiers.
LA DIRECTION