Jambon sucré
A propos de la rubrique L’Envers de l’étiquette «Jambon & Co» (11/97).
Pendant trente ans, j’ai navigué l’automne et l’hiver dans le Nord vaudois pour faire boucherie. Nos préparations étaient reconnues et appréciées. J’ai toujours ajouté aux 18 à 20 g de sel par kg de viande une pincée de sucre et une pointe de salpêtre. Certainement que la Migros a repris une vieille recette pour ses préparations.
Gaston Bovay, Ursins
Je vous remercie d’avoir soulevé le problème des «sortes de sucre» ajoutées à la charcuterie. Pour ma part, je commence à trouver insupportable le goût doucereux des saucissons vaudois «d’après une recette ancestrale» provenant de Coop ou de Migros. Il en va de même pour la saucisse aux choux: le papet vaudois sucré, c’est vraiment écœurant! Moralité: tout fout le camp! Et surtout, que
peut-on faire là contre?
Luc-Etienne Gersbach, Lausanne
Chaussures à son pied
A propos de l’article «La galère des femmes aux petits pieds» (11/97)
Suite à cet article, deux lecteurs nous ont transmis des adresses où les femmes aux petits ou grands pieds peuvent se chausser. Nous les transmettons volontiers, mais nous n’en publierons plus d’autres.:
Les boutiques Florence (Place Bel-Air 2) et Lorette (rue de Bourg 11) à Lausanne (pointures 33 à 41) et Le palais de la chaussure (pointures 32 à 45), vente par correspondance depuis la France. 00331 46 27 27 70).
Bulles dans les bulles...
A propos du test sur les champagnes (12/97)
Je vous signale plusieurs imprécisions découvertes au fil de la lecture. Concernant la teneur en plomb, vous écrivez que deux mousseux sont contestables, car leur teneur dépasse la valeur légalement tolérée (0,1 mg/kg). En consultant votre tableau, j’ai trouvé confirmation pour le Moscato Spumante, mais pas pour L’Arc de Triomphe. Et dans la marge, vous expliquez le système d’attribution des étoiles: il est évident que les chiffres pour la mauvaise gamme de deux étoiles sont dix fois trop petits. Enfin, concernant la teneur en acide sulfureux, vous écrivez que L’Arc de Triomphe en contenait 199 mg/l, mais votre tableau n’indique que 119 mg. Cherchez la vérité...
Je sais qu’une faute de frappe est vite faite et pas toujours facile à détecter. Mais dans le cas présent, je ne peux pas m’empêcher de vous reprocher de la négligence.
Gerhard Kornfeld, Avry-sur-Matran
Vos reproches sont totalement justifiés et nous battons notre coulpe. S’agissant de la teneur en acide sulfureux de L’Arc de Triomphe, ce sont bien les 119 mg du tableau qui sont corrects. Mille excuses et croyez bien que nous serons, à l’avenir, encore plus attentifs à ce genre de «coquilles» malheureuses.
Guéguerre Mac-PC
A propos des articles «L’énergie par l’image et par le son» (12/97).
Bravo pour votre publication! En couleurs, vivant, fait d’articles précis et concis, bravo! J’ai beaucoup apprécié le test sur les piles: il est vrai que nous en utilisons presque tous les jours.
Petite remarque cependant: vous avez décrit le CD-ROM«ElectricpoweR sans penser à la guéguerre IBM-Mac. Une précision concernant la compatibilité avec tel ou tel système serait la bienvenue. D’autre part, une indication concernant le processeur minimum serait un plus pour vos lecteurs.
PASCAL GREPPIN
via internet
Le CD-ROM susmentionné tourne sous PC multimédia (avec au min. un 486 SX, 8 Mo de Ram; système d’exploitation Microsoft Windows 3.1 ou sup.) et sur Macintosh LC II min. (avec au moins 3,5 Mo de RAM).
Parents irresponsables
A propos de l’article «Des somnifères à onze ans déjà!» (12/97).
Comment des parents responsables peuvent-ils laisser des médicaments à la portée de leurs enfants. Les effets sur un jeune organisme sont sans doute décuplés par rapport à ceux produits sur un adulte; la santé à long terme n’est-elle pas altérée? (...) Le recours à ces substances deviendra-t-il systématique lors de problèmes et surtout comment protéger notre jeunesse de la prise inconsidérée de médicaments? Voilà des questions auxquelles il faut réfléchir de toute urgence.
Je tiens d’autre part à vous féliciter pour votre excellent journal: les articles y sont fouillés, les enquêtes sérieuses et utiles, et les conseils pratiques.
Jean-Marc Leresche, Le Locle
Ménages au noir
A propos de l’article «Tornades blanches employées au noir» (12/97).
Un employeur est-il déchargé de toute responsabilité si le personnel de maison établit une facture pour ses prestations? Autrement dit: celui qui établit la facture doit-il assumer lui-même toutes les charges sociales (AVS, impôts, etc.)?
NOM CONNU DE LA RÉDACTION
Ne pourrait-on imaginer que les femmes de ménage soient considérées comme des indépendantes, puisque, très souvent, elles travaillent pour plusieurs personnes. Elles factureraient leurs heures et ce serait à elles de faire les démarches auprès des autorités compétentes. Et si ce n’est pas possible, pourquoi?
Liliane Keller, Perroy
Bien sûr que ce serait possible. Mais pour être déchargé de toutes obligations, l’employeur ne doit pas se contenter d’une simple facture, il doit s’assurer que l’employé est bel et bien inscrit à une caisse AVS en tant qu’indépendant en lui demandant une attestation ad hoc et en garder une copie. S’il ne le fait pas, c’est lui qui devra passer à la caisse. Et sur le fond, cela ne changera rien au problème: pour les employeurs, l’heure de travail coûtera de toute façon plus chère et pour la femme de ménage, il faudra faire le pas de la légalisation, avec tout ce que cela implique (ou qu’elle croit que cela implique) sur le plan fiscal.