Produit remboursé
A propos de l’article «Promesses dégonflées» (11/99).
Me référant à notre échange de correspondance au sujet des produits amaigrissants Jogun, j’ai le plaisir de vous informer que je viens de recevoir de la Maison Ambassador Service AG la somme de 59 fr., montant exact de ce produit. C’est grâce à l’article paru dans Bon à Savoir que j’ai pu obtenir ce remboursement et je tiens à vous en remercier très sincèrement.
M.-L. V., Meyrin
Test sur les animaux
A propos du test sur les lessives liquides (2/2000).
Qu’Ariel détache de manière radicale, je veux bien le croire. En revanche, la réputation des fabricants Procter + Gamble reste gravement entachée! Car comme vous pouvez le voir sur l’article ci-joint, paru dans le Courrier des Bêtes de la SVPA, Ariel figure également en première place concernant les cruautés infligées aux animaux lors des tests des produits. Il serait injuste de ne pas tenir compte de ce critère dans le choix d’une lessive, quitte à ne voir partir quelques taches que progressivement.
Gertrude Thiébaud, Pully
Juste une petite remarque à propos des conseils que vous donnez pour éliminer les taches. Pour le sang, vous auriez dû préciser qu’il faut utiliser de l’eau froide, car avec de l’eau tiède ou chaude, la tache se fixe!
Ruth Clavel, Forel
Précieuse APG
A propos de l’article «Lorsque l’AI remplace la perte de gain» (2/2000).
Il est important de mentionner que, pour les personnes qui bénéficient d’une réadaptation AI, avec une indemnité journalière AI, cette indemnité ne leur sera versée, en cas de maladie et d’incapacité de travail, que durant 21 jours. Dès le 22e jour, seule l’assurance perte de gain maladie intervient.
C’est pour cette raison qu’il est nécessaire de conserver son assurance perte de gain à titre individuel, en bénéficiant du libre passage sans réserve dans un délai d’un mois. Passé ce délai, il est très difficile de pouvoir obtenir une nouvelle assurance perte de gain, en étant déjà à l’AI, ou de réintégrer son ancienne assurance perte de gain.
Catherine Gremion, Morges
Courrier au poids
A propos de l’article «Mesurer le poids des mots» (2/2000).
Je suis navré de devoir constater que cet article traite le sujet comme si la chose était déjà acquise. Vous facilitez grandement la tâche de Monsieur Prix et celle de Monsieur Leuenberger en banalisant cette opération de cette manière. Votre rôle est d’intervenir de la manière la plus rigoureuse possible afin d’empêcher ce genre de mesures qui frisent le ridicule. A travers l’augmentation des frais généraux de toutes les entreprises commerciales, ce sont en fin de compte les consommateurs qui passent à la caisse.
André Boschung, Pully
L’article mentionnait clairement que le Département de l’économie publique doit encore donner son accord et ne parlait donc pas d’un fait acquis. Par ailleurs, nous sommes un magazine spécialisé dans les problèmes de consommation, mais pas une association de défense des consommateurs. Notre rôle ne consiste donc pas à intervenir, mais à dénoncer certaines pratiques et à fournir la meilleure information possible à nos lecteurs.
Le monopole de Mac Do
A propos de l’article «Enfants séduits par le style Mac Do» (2/2000).
Savez-vous qu’à Aquaparc, la seule restauration possible est un Mac Do? Et dans l’enceinte le pique-nique est interdit. Je trouve cela regrettable pour les familles pensant faire une sortie «saine et sportive». Pour cette raison, je n’irai pas à Aquaparc.
Nom connu de la rédaction
L’erreur vient d’ailleurs
A propos de notre rectificatif «Double erreur de la Winterthur» (2/2000).
Dans son dernier numéro, suite à une lettre de lecteur, Bon à Savoir a rectifié... à tort une information du numéro de janvier sur l’assurance dommage des articles sports et loisirs. En définitive: l’offre de la Winterthur est un complément à l’assurance vol à l’extérieur. Tout compris, la prime annuelle se monte à 124 fr. qui se décompose comme suit: 78 fr. pour le vol, 46 fr. pour les dommages aux articles de sports et loisirs. Cette prime est valable pour une couverture de 2000 fr., avec une franchise de 200 fr.
Déchirure à vie
A propos du dossier «Divorcer sans se déchirer» (2/2000).
Quelle terrible nouvelle de savoir que la loi nous permet de plus en plus facilement de nous défiler face à nos responsabilités. Ne nous étonnons pas de voir notre société se désintégrer
de plus en plus, marquée par la violence, le non-sens et la débilité. Nous en sommes responsables. Un enfant de divorcés, dont je suis moi-même, reste et restera pour la vie un enfant puis un adulte déchiré, même si la loi se targue de nous offrir enfin de pouvoir «Divorcer sans se déchirer».
Nathalie Araujo, Châtel-Saint-Denis