En Suisse, il est interdit de vendre des aliments en leur prêtant des vertus amaigrissantes. Cette règle vaut aussi pour les substituts de repas, sous forme de poudre (à diluer) ou de barres (à croquer). Comment, dès lors, expliquer aux consommateurs les vertus des régimes aux parfums vanillés ou chocolatés sans commettre d’infraction? Eh bien, il suffit de choisir ses mots… parmi la terminologie décrite dans la loi elle-même.

L’Ordonnance sur les aliments spéciaux régi...