«L’été arrive, l’argent aussi.» Ce genre de campagne publicitaire, menée tambour battant par Procrédit, m’agace prodigieusement. Des études ont en effet prouvé que l’immense majorité des cas sociaux reposant sur des problèmes financiers sont liés aux crédits à la consommation. Faut-il encore augmenter leur proportion en faisant croire qu’un prêt se gère aussi facilement que les saisons changent? Non, bien sûr. Mais le marché du petit crédit s’en moque comme colin...