Non, le service public n’est pas malade. En Suisse, il se porte assez bien, mais montre des signes d’essoufflement. Dès lors, une question se pose: faut-il prévenir la maladie ou soigner le malade? Faut-il agir en amont et à moindres frais ou improviser lorsqu’il sera trop tard et que les dégâts seront irréversibles?

Notre réponse, c’est l’action préventive. Notre remède, c’est l’initiative populaire dite «Pro Service Public». Lancée avec nos partenaires além...