Paris a aussi son mont-de-piété (lire TCF 03/2009) Les habitants de la capitale française s’y rendent en disant qu’ils vont «chez ma tante». L’expression est attribuée au prince de Joinville, troisième fils de Louis-Philippe, qui aurait mis sa montre au clou pour honorer une dette de jeu. N’osant l’avouer à sa mère, il aurait prétexté l’avoir oubliée… chez sa tante.

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