«C’est comme si j’avais loué un appartement sans avoir pu y rentrer, la porte d’entrée étant restée fermée.» George E. Mathys n’a toujours pas digéré sa douloureuse aventure avec Cablecom. Pendant quatre mois, notre lecteur de 89 ans a payé un abonnement de téléphonie mobile qu’il n’a pu utiliser qu’une poignée de jours, son portable étant en continuelle réparation.

Bref rappel des faits. En juillet 2006, M. Mathys signe un contrat Cablecom mobile connect d...