Si les noms varient entre «cacao en poudre» à «chocolat au lait», l’idée est toujours la même: aromatiser le lait avec un goût flatteur. La loi suisse impose à la seconde dénomination au moins 25% de teneur en cacao de la matière sèche totale. Les poudres à base de malt d’orge comme l’Ovomaltine ou l’Eimalzin ou encore le Nesquik et le Suchard Express ne sont, quant à eux, pas tenus à des exigences minimales.

Indépendamment d...