Lorsque le mercure descend sous la barre du 0°C, que l’air glacé brûle la poitrine et que l’œil larmoie, on n’a guère envie de braver les éléments pour une heure de jogging ou de vélo. En revanche, dans des conditions identiques, on n’hésite guère à chausser ses skis et prendre la file aux remonte-pentes.

Une journée de ski représente pourtant un effort considérable – bien plus, en général, que ceux auxquels sont habitués la plupart des skieurs. Directeur de l...