Gauchistes, écologistes, féministes ou journalistes, plus de 900 000 personnes ont été fichées en dehors de toute base légale. Le fameux scandale des fiches éclate en 1989. Vingt-deux ans plus tard, l’un de nos lecteurs découvre que le fichage n’est pas l’apanage des services secrets. D’autres entités disposent de bases de données, pour leur part légales, mais pas moins intrusives.

C’est le cas des sociétés de enseignements économiques et d’autres agences d...