En cette année 2013, l’été touche à sa fin quand Martha* découvre sa salle de bain inondée. «L’eau s’infiltrait lorsqu’il pleuvait. J’ai appelé immédiatement ma gérance. Deux semaines plus tard, sans nouvelles, je lui ai écrit une lettre. Finalement, elle m’a envoyé un ouvrier», relate la locataire d’un appartement situé au dernier étage d’un immeuble de la région lausannoise.

Le constat est sans appel: le toit est en fin de vie. Et, malgré quelques tra...